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Covid-19 au Maroc : Le roi Mohammed VI appelle à la prise de conscience

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Le Roi Mohammed VI a mis en garde, jeudi, dans un discours adressé à l’occasion du 67-ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, que si la tendance haussière des cas d’infection au coronavirus perdure, la Commission scientifique chargée du suivi de l’évolution de la pandémie Covid-19 « pourrait préconiser un retour au confinement », voire un durcissement des mesures sanitaires.


Le Roi dit constater avec regret la dégradation de la situation sanitaire qui « ne porte guère à l’optimisme à cette date. Et quiconque, cher peuple, te dit le contraire est un affabulateur, dans l’hypothèse où, Dieu nous en garde, cette décision difficile devait être prise, ses répercussions sociales et économiques seraient rudes pour l’ensemble des citoyens », a ajouté le Roi Mohammed VI tout en regrettant la recrudescence des cas d’infection et une dégradation de la situation sanitaire au Maroc.


Le Souverain a fait état de l’augmentation, au lendemain du déconfinement, du nombre des cas confirmés, celui des cas graves et celui des décès, “en peu de temps, plus de trois fois, par rapport à la période de confinement”.
Il a aussi relevé qu’une hausse du nombre d’infections dans son pays parmi le personnel soignant, passant quotidiennement, de 1 cas durant la période de confinement, à 10 cas tout récemment et le nombre de contaminations et de décès ira crescendo, a affirmé le Souverain, prévoyant que malgré les efforts importants des pouvoirs publics et du secteur de la santé, « les hôpitaux ne seraient plus en mesure de faire face à la pandémie ».


Le Roi Mohammed VI a gracié aussi 673 personnes condamnés par les différents tribunaux à l’occasion de la fête de la jeunesse. Les bénéficiaires de la grâce royale en détention sont au nombre de 522 détenus, alors que le nombre des bénéficiaires de cette grâce en situation de liberté est de 151 personnes.

BAC 2020 : Début de la correction des copies ce lundi

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La correction des copies des épreuves écrites du baccalauréat session d’août 2020 démarre ce lundi 24 août 2020 à N’Djaména dans trois centres (lycée Maarrif, Ibnou Cina et lycée Collège Evangélique). Les examinateurs ont une semaine pour corriger les copies de 87 500 candidats toutes séries confondues.


A la veille de l’opération ce dimanche 23 août 2020, les dispositions ont été prises pour que les correcteurs dont la liste est affichée à l’ONECS (office national des examens et concours du supérieur), puissent entamer le travail dans de bonnes conditions.
Comme ces dernières années, le travail se fera à la chaine, entre correcteurs et vérificateurs, puis, les membres de différentes commissions qui travaillent aux côtés des équipes de la correction et vérification, procéderont au renforcement des notes sur les copies corrigées. Interviendra ensuite l’équipe de dépouillement . Le classement de copies par série suivi de la saisie des notes, boucleront le travail pour la publication de résultats.


Le président du jury du baccalauréat 2020, M. Bianzeubé Tikri, tout en se félicitant du bon déroulement de l’examen malgré la pandémie de Covid-19, s’est dit rassuré que, la tenue de cet examen au cours d’une année aussi particulière, est une véritable expérience à retenir pour l’avenir.


Lancé le 17 août dernier, le baccalauréat session d’août 2020 a concerné 87 500 candidats toutes séries confondues ayant composé dans 123 centres sur l’ensemble du pays.

SOCIETE : Distribution de vivres aux sinistrés des inondations

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Le gouvernement à travers l’Office National de Sécurité Alimentaire à procédé ce vendredi 21 août 2020 au quartier Ngabo2 dans la commune du 8ème arrondissement de la ville de N’Djaména au lancement officiel de la campagne de distribution de kit alimentaire composé de 50 kilogrammes des céréales, 10 kilogrammes du sucre, 10 litres d’huile et 25 kilogrammes d’haricot.

Cette opération qui concerne 6848 ménages répartis dans 12 quartiers entre le cadre de l’assistance aux sinistrés des inondations causées par les pluies de ce dernier jour.

Le maire de la commune du 8ème arrondissement, M. Fatimé Abdoulaye déclare que sa commune est la plus touchée par les inondations causant ainsi plusieurs victimes. Tout en se félicitant des efforts fournis par l’Etat pour venir en aide a ses concitoyens durant ses moments durs.

Pour le représentant de la Banque Islamique de développement (BID), M. Ali Ousman Khassim son organisation a mis un programme qui celui de venir en aide aux pays membres dans le cadre de la COVID-19 dont le Tchad est aussi bénéficiaires d’une enveloppe de 20 millions de dollars dont 16 millions de dollars sont destinés à l’achat des denrées alimentaires à travers l’ONASA. Il rappelle que la BID participe activement au développement socio-économique du Tchad aveca 15 projets pour une enveloppe 140 millions de dollars.

Les deux ministres du plan, Issa Doubrange et celui de la santé publique et de la solidarité nationale, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul exhortent les équipes en charges de distribution de renforcer les mécanismes de sécurisation de potentiel bénéficiaire pour éviter de les exposer aux maladies.

Selon le ministre de la santé publique et de la solidarité nationale, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul les tchadiens sont doublement affectés par la pandémie de la COVID-19 et depuis quelques jours par les inondations à N’Djaména et un peu partout sur l’ensemble du pays. Il informe que le gouvernement est en train de se mobiliser pour venir en aide aux sinistrés des inondations pour accéder a une aide matériels immédiate et utile en terme de logement, de couverture des médicaments pour les autres besoins.

ÉDUCATION : la reprise des cours dans les classes intermédiaires pour le 15 septembre

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Le ministre de l’Education Nationale et de la Promotion Civique, M. Aboubakar Assidick Tchoroma, a présidé dans la matinée de ce vendredi 21 août 2020, une réunion, sur les préparatifs de la reprise des cours dans les classes intermédiaires et de la rentrée scolaire 2020- 2021.

Le ministre Aboubakar Assidick Tchoroma était assisté du secrétaire d’état à l’Education Nationale et à la Promotion Civique, M. Moustapha Mahamat Talko. Il a été décidé, à l’issue de cette rencontre, de la révision du calendrier initialement adopté. Ce calendrier à réviser fixe la reprise des cours dans les classes intermédiaires pour le 15 septembre 2020 (activités pédagogiques pour le compte de l’année scolaire 2019-2020) et la nouvelle année scolaire le 19 octobre 2020.

Le ministre a demandé aux membres du Comité Scientifique de Réponse Educative au Covid-19 (CRSE) de rendre public, le plus tôt possible, un nouveau calendrier beaucoup plus réaliste, pour que les cours reprennent sur l’ensemble du territoire nationale, sans disparité.

MEPC

Mahamoud Ali Seïd : « Le Tchad a connu d’énormes changements »

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Lors d’une conférence de presse animée ce vendredi 21 août 2020 à Radisson Blu de N’Djaména, le président de la CASAC, Mahamoud Ali Seïd déclare que le Tchad d’aujourd’hui n’est pas celui d’antan, que depuis 1990 le pays a connu d’énormes changements avec une floraison des sociétés civiles, myriades des organes de presse et des partis politiques.


Selon lui, le Tchad a connu de moment difficile depuis l’accession de son indépendance en 1960 mais depuis 1990 le pays a commencé par prospérer grâce au sacrifice du Maréchal du Tchad qui a pu mettre le pays sur le chemin du développement. Il poursuit que le Tchad à payer un lourd tribut pour accéder à l’indépendance.
« Le Tchad est différent des autres années avec de sacrifice consenti par le gouvernement depuis l’exploitation du pétrole en 2003 il y a eu la construction des infrastructures comme les écoles, des routes bitumées allant de l’Est au Sud, des hôpitaux entre autres sur l’ensemble du territoire national », se réjouit, le président de la CASAC. Pour lui, le Tchad est un pays jeune il peut avoir de ratés.
Mahamoud Ali Seïd appelle les societes civiles, les organes de presse et les partis politiques de respecter les textes organiques de la république pour préserver la paix et la stabilité du pays. « La mauvaise gouvernance n’existe pas dans notre pays c’est l’invention de l’occident et les plus grands corrompus c’est eux. Nous avons notre propre démocratie et les africains sont éveillés et nous connaissons nos propres réalités ».
Concernant la participation des soldats tchadiens qui meurent dans les différents théâtres de combat, le président de la CASAC confie que c’est la responsabilité de l’occident qui ont déstabilisé la Libye pour leur propre intérêt égoïste. « Nous allons soutenir nos états contre les envahisseurs. Le président de la république se sacrifie pour sauver son pays contre les djihadistes et il mérite amplement son titre de Maréchal du Tchad pour tous ses sacrifices consentis depuis plusieurs années », se félicite, Mahamoud Ali Seïd président de la CASAC.

Afrique : Aujjar nommé président de la Mission d’enquête de l’ONU sur la Libye

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La mission qui comprend, outre Aujjar, Tracy Robinson et Chaloka Beyani, a été créée par le Conseil des droits de l’homme le 22 juin 2020, pour documenter les allégations de violations du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire par toutes les parties en Libye depuis 2016, précise le communiqué.


La Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a relevé dans ce sens la détérioration de la situation sécuritaire en Libye et l’absence d’un système judiciaire fonctionnel, mettant l’accent sur l’importance du travail de l’équipe d’experts indépendants pour documenter les exactions et les violations des droits de l’homme.


«Cet organe d’experts servira de mécanisme essentiel pour lutter efficacement contre l’impunité généralisée pour les violations des droits de l’homme et les abus commis, et peut également servir de moyen de dissuasion pour prévenir de nouvelles violations et contribuer à la paix et à la stabilité dans le pays», a déclaré Bachelet, citée dans le communiqué.


Les exécutions sommaires, la torture et les mauvais traitements, la violence sexiste, y compris la violence sexuelle liée aux conflits, les enlèvements, les disparitions forcées, ainsi que l’incitation à la violence sur les réseaux sociaux, continuent d’être commis dans un climat d’impunité total, fait-elle observer.

Emploi : 57.000 dossiers sont en instance d’intégration à la fonction publique

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Le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet a présidé cet après-midi, la réunion de la Commission spéciale  pour le recrutement (CSR) de 16.600 diplômés à la Fonction publique. La réunion s’est déroulée au Palais présidentiel.

C’est sous la houlette du président de la Commission spéciale pour le recrutement (CSR) de 16.600 diplômés à la Fonction publique, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet que cette réunion s’est déroulée.

L’arithmétique et plus particulièrement, la règle des trois s’est invitée au débat. Tenez, sur 20.000 diplômés à recruter à la Fonction publique, 3.400 sont déjà recrutés. Les places à pouvoir sont de 16.600 avec exactitude. Les besoins exprimés par tous les ministères en matière d’intégration s’élèvent à 27.742. En ce jour 20 août 2020, 57.000 dossiers sont en instance d’intégration à la Fonction publique.

Le ministre de la Fonction publique, du travail et du dialogue social, M. Ali Mbodou Mboudoumi appuyé du Directeur Général de son département ministériel Tom Chérif Bilio, par ailleurs président de la Cellule technique d’appui à la Commission spéciale pour le recrutement de 16.600 diplômés à la Fonction publique, propose à l’assistance deux scénarii.

Le Premier scénario consistant à appliquer un abattement de 40 % sur le besoin exprimé par chaque département ministériel sans exception est adopté après un débat dirigé de mains de maître par le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet.

Ainsi, 60 % des besoins de chaque ministère en matière de recrutement à la Fonction publique seront accordés. Exemple : le ministère de l’Enseignement supérieur qui a exprimé un besoin de recrutement de 2.272 agents verra 1.359 intégrés effectivement.  Le ministère de la Communication qui a émis le souhait d’intégrer 400 diplômés aura avec exactitude 239 places représentant les 60% de ses besoins.

Les clés de réparation par ministère connue, le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet a ordonné à la commission d’accélérer la cadence en commençant par recruter 150 femmes dans divers ministères, instruction du Maréchal du Tchad, les lauréats de différentes Ecoles nationales, les contractuels scientifiques du Ministère de l’Education nationale qui sont déjà opérationnels sur le terrain. Transparence et égalité des chances telles sont les dernières instructions du Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet avant de lever la séance.
Par: DGCOM

Inondations àN’Djaména : un plan d’urgence est déjà élaboré

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Le Ministre d’Etat, Ministre Secrétaire général de la Présidence de la République, M. Kalzeubé Payimi Deubet a dirigé ce matin une réunion consacrée aux inondations dans la capitale. La rencontre à laquelle ont participé Ministres et Maires des communes, a débouché sur plusieurs décisions.

«  Il faut sauver N’Djamena », c’est le maitre mot de la rencontre au cours de laquelle l’accent a été mis sur ce qui est à faire dans l’immédiat pour empêcher que la situation ne se dégrade davantage.  « L’on ne peut rester les bras croisés », a rappelé dès l’entame de la réunion, le Ministre d’Etat Kalzeubé Payimi Deubet qui a donné la parole aux Ministres concernés et aux Maires. Chacun en fonction de l’appréciation de la situation, a fait valoir ses propositions. Ce qui est entrepris sur le terrain, à en croire le Maire de la Ville de N’Djamena, M. Oumar Boukar n’a pas suffi pour contenir les inondations.

La forte pluviométrie et le niveau d’inondation déjà atteint, ne laisse pas du temps à autre chose que l’action. Ce dont ont besoin les communes a été décliné à la lumière d’un plan d’urgence déjà élaboré par la Délégation générale du Gouvernement auprès de la Commune de N’Djamena. Des actions urgentes sont à mener dans l’immédiat, tel en a décidé la réunion en priorisant les zones les plus critiques.

L’ampleur des inondations fait également planer des risques de déplacements des sinistrés et d’épidémies. La question  n’a pas été perdue de vue par le Gouvernement qui compte se donner des moyens afin d’éviter une complication de la situation et plus largement de trouver des solutions pérennes au phénomène cyclique des inondations.  

Par: DGCOM

Mutinerie au Mali: la Cedeao demande «le rétablissement de IBK en tant que président»

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Les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont demandé jeudi, lors d’un Sommet extraordinaire en visioconférence, « le rétablissement du président Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK)», renversé par des militaires putschistes.

« Nous demandons le rétablissement du président Ibrahim Boubacar Kéïta en tant que président de la République conformément aux dispositions constitutionnelles de son pays », a déclaré le président du Niger, Mahamadou Issoufou, à l’issue du Sommet extraordinaire.

M. Mahamadou Issoufou, président en exercice de la Cedeao, a annoncé la suspension du Mali de tous les organes de décision de l’organisation régionale avec effet immédiat conformément au protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance. Et ce, jusqu’au rétablissement effectif de l’ordre constitutionnel.

« Nous décidons de la fermeture de toutes les frontières terrestres, aériennes ainsi que l’arrêt des flux et transactions économiques, commerciales, financières entre les pays membres de la Cedeao et le Mali, à l’exception des denrées de première nécessité, l’électricité et le carburant et demandons à tous les partenaires de faire de même», a-t-il dit.

En outre, les chefs d’Etats de la Cedeao ont demandé « la mise en œuvre immédiate d’un ensemble de sanctions contre tous militaires putschistes avec leurs partenaires et collaborateurs » et décidé de dépêcher rapidement une médiation de haut niveau pour assurer le retour immédiat de l’ordre constitutionnel.

M. Issoufou a fait savoir qu’il a été décidé de la montée en puissance de la force en attente de la Cedeao. Toutefois, le cadre de dialogue institué par l’Union reste valable et le médiateur, Jonathan Goodluck, est disponible pour continuer sa mission de rapprochement des positions de toutes les parties et de réconciliation du peuple malien.

Le président en exercice de la Cedeao a relevé que des discussions devraient être engagées avec les responsables de la junte militaire pour leur porter le message de la Communauté et leur faire comprendre que « le temps de prise du pouvoir par la force est révolu» dans la sous-région.

Pour réussir cet objectif, la Cedeao compte travailler avec tous les fils du Mali afin que le pays s’engage dans un processus ou ses institutions démocratiques seront pleinement rétablies et opérationnelles, dans les meilleurs délais.

Selon M. Mahamadou Issoufou, le Mali est dans une « situation critique et un affaiblissement de l’Etat et des institutions avec des risques graves » et cela peut entraîner des revers dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.

Une mutinerie de soldats, le 18 août 2020, au camp militaire de Kati, a progressivement évolué dans le contrôle de l’appareil de l’Etat avec l’arrestation de hauts gradés de l’armée et de hautes personnalités y compris le chef de l’Etat.

Otage des putschistes, IBK a dissout l’assemblée nationale et du gouvernement, avant d’annoncer sa démission de ses fonctions dans une déclaration télévisée. Ce putsch intervient après un autre coup d’Etat en 2012 qui a ouvert la porte aux terroristes.

La Cedeao a décidé d’organiser sa prochaine réunion, via visioconférence, dans une semaine, a indiqué le président en exercice, M. Mahamadou Issoufou, dans un communiqué final.

APANEWS

Opinion : « il faut impérativement des canaux de types Canal saint Martin « Djerassem

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N’Djaména est trop plat il faut impérativement des canaux de types Canal saint Martin avec une écluse et des déversoirs lorsque la période de cru arrive. Les déversoirs vont permettre de pomper rapidement l’eau du canal vers le fleuve chari.

Les écluses seront utilisées lorsque le niveau du fleuve chari est très élevé pour empêcher l’écoulement du fleuve vers la ville. En ce moment les pompes ou déversoirs vont pomper l’eau du canal au dessus des écluses et les déverser dans le chari, ceci permet de compenser la faible pente naturelle de la ville.

Quand N’Djaména était encore une petite ville c’est ce système installé sur le canal saint Martin qui a réglé le problème. On ne va pas réinventer la roue il faut créer au moins trois canaux de type « canal saint Martin » et il n’yaura plus d’inondation. N’Djaména a en moyenne une pente de 0.11% trop petit pour permettre l’écoulement rapide vers les exutoires.

Djerassem LeBamadjiel