vendredi, mai 9, 2025
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Société : Les agences de voyages reçoivent les visas du Hadj 2025

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Les passeports ont été remis ce mercredi 30 avril 2025 aux agences de voyage ayant déjà obtenu les visas pour les futurs pèlerins de cette édition, un mois avant le premier vol.


Il s’agit d’une première dans l’organisation du Hadj au Tchad, rendue possible grâce à la planification mise en place par l’Organe d’organisation des pèlerinages.
À cet effet, les agences sont regroupées en trois groupes et sont chargées d’informer les pèlerins sur l’ordre de passage de leurs vols afin d’éviter toute bousculade.
Une équipe quittera la capitale tchadienne en direction de la Terre sainte en Arabie Saoudite le 10 mai pour accueillir les pèlerins à partir du 16 mai prochain, date du premier vol des pèlerins tchadiens.

Coopération : Saleh Kebzabo échange avec Abdellatif Erroja

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Le Médiateur de la République, M. Saleh Kebzabo, a échangé ce mercredi 30 avril 2025, à son cabinet, avec l’ambassadeur du Royaume du Maroc au Tchad, M. Abdellatif Erroja, sur les relations bilatérales entre leurs pays.

Les deux personnalités ont abordé, entre autres, la question du renforcement du partenariat dans le domaine de la prévention et de la gestion des conflits.

Le Médiateur de la République du Tchad et le diplomate marocain ont évoqué l’intérêt de développer des formations destinées aux cadres de l’institution, ainsi que d’autres initiatives visant à consolider la paix et la stabilité.

Ces premières discussions ont permis de poser les bases d’un dialogue continu, avec l’engagement de poursuivre les échanges entre les services du Médiateur de la République afin de concrétiser les idées évoquées, rapporte la Médiature.

La rencontre a été l’occasion pour le Médiateur de la République et l’Ambassadeur du Royaume du Maroc au Tchad, assistés de leurs proches collaborateurs, d’affirmer leur souhait de pérenniser de telles rencontres en vue d’établir un partenariat étroit et fructueux.

Tchad : 2 cadres du CCMSR regagnent le bercail

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M. Diddi Mahamat Issakha Sénoussi et M. Issa Ousman Nahar, respectivement Commissaire chargé des missions, de la mobilisation et de la sensibilisation, ont regagné ce mercredi 30 avril 2025 leur pays après plus de 20 ans d’exil à l’étranger.

Ce retour des cadres du CCMSR est favorisé par la main tendue du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno.

M. Diddi Mahamat Issakha Sénoussi salue les efforts du Médiateur de la République, qui a concrétisé cette politique de réconciliation.

À leur accueil à l’aéroport international Hassan Djamous de N’Djaména, le conseiller de mission du Médiateur de la République, par ailleurs président de la Commission chargée du retour des politico-militaires et des exilés, M. Mahamat Barh Béchir Kindji, a déclaré que ce retour s’inscrit dans une démarche de dialogue et de réconciliation nationale, visant à renforcer la cohésion et la stabilité du pays.

Selon lui, la politique de la main tendue demeure un pilier majeur de la stratégie nationale pour la consolidation de la paix et la stabilisation du Tchad.

Société : 4000 enfants et adultes bénéficient l’obtention d’un acte de naissance dans le Lac  

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L’organisation humanitaire INTERSOS a annoncé dans un communiqué de presse avoir facilité à 4 000 bénéficiaires, enfants et adultes en situation de vulnérabilité, l’accès à la documentation civile, notamment à l’obtention d’un acte de naissance, dans trois départements de la province du Lac (département de Mamdi, 1 500 actes de naissance, département de Kaya 1 000 actes et département de Fouli 1500 actes).

Selon le communiqué, cette action s’inscrit dans l’engagement de INTERSOS à lutter contre le risque d’apatridie dans la province du Lac, une zone fortement marquée par les déplacements massifs de populations à la suite d’attaques de Groupes Armés Non Étatiques (GANE).

« Sans documents d’identité, nombre de personnes et particulièrement les enfants, se retrouvent exclus des services sociaux de base et exposés à d’autres formes de vulnérabilité », justifie le communiqué. Tout en déclarant que les actes de naissance délivrés ont été obtenus par voie judiciaire, au cours d’audiences foraines organisées en collaboration avec les autorités locales chargées de l’état civil.

Selon communiqué, cette action s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Assistance en protection pour les populations affectées par la crise humanitaire dans la province du Lac », financée par l’Union Européenne à travers la direction générale de la protection civile et des opérations d’aide humanitaire européennes (DG EUHO).

« Grâce à cette initiative, les enfants comme les adultes disposent désormais d’une reconnaissance légale de leur identité, condition essentielle pour accéder à l’éducation, aux soins de santé, à la justice et à d’autres services fondamentaux », conclu le communiqué.

Mali : Goïta proposé Président, les partis vers la dissolution

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Réunies à Bamako, les forces vives maliennes ont recommandé la dissolution des partis politiques et la désignation du chef de la junte, le général Assimi Goïta, comme Président de la République pour un mandat renouvelable de cinq ans.

La phase nationale des consultations des forces vives, tenue le 28 avril 2025 au Centre international de conférence de Bamako (CICB), a débouché sur une série de propositions visant une refonte radicale de la scène politique malienne. Les participants ont appelé à la dissolution de tous les partis politiques existants et à l’installation du général Assimi Goïta, actuel président de la Transition, comme Président de la République avec un mandat de cinq ans renouvelable.

Présidée par le Premier ministre, le général Abdoulaye Maïga, la session a rassemblé dans une salle des représentants de la société civile, des autorités traditionnelles et des Maliens de la diaspora. Les recommandations issues de ces échanges marquent une rupture nette avec le système partisan en vigueur.

Il est notamment proposé d’instaurer des critères stricts pour la création de nouveaux partis, avec une caution de 100 millions de francs CFA, des conditions d’âge fixées entre 25 et 75 ans pour les dirigeants, et une exigence de représentativité territoriale. Le financement public des partis serait supprimé, et le statut de chef de file de l’opposition abrogé, tout comme le nomadisme politique, passible de sanctions.

Sur le plan institutionnel, les participants appellent à une révision de la charte de la Transition pour permettre au général Goïta d’être officiellement nommé Président de la République dès 2025, « à l’instar de ses pairs de l’AES », avec le maintien des organes actuels « jusqu’à la pacification du pays ». Au Burkina Faso et au Niger, les dirigeants issus de coups d’État ont chacun été maintenus au pouvoir pour une transition de cinq ans à l’issue de consultations nationales.

Toutes les échéances électorales seraient ainsi suspendues. Le scrutin présidentiel, désormais à tour unique, serait assorti d’une caution de 250 millions de francs CFA pour les candidats.

Le Premier ministre Maïga a salué l’esprit des travaux, affirmant que ces propositions permettront « d’avancer et de tourner les pages obscures » de l’histoire récente du pays. Ces orientations s’inscrivent dans le prolongement des réformes issues des Assises Nationales de la Refondation (ANR) et de la nouvelle Constitution adoptée en juillet 2023, dans un contexte post-coup d’État marqué par une volonté affichée des autorités de transition de redéfinir le socle institutionnel du Mali.

APANEWS

Éducation : Un projet de 25 milliards de FCFA en faveur des filles en milieu semi-rural

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Le ministre de l’Éducation nationale et de la Promotion civique (MENC), le docteur Aboubakar Assidick Choroma, a présidé ce mardi 29 avril 2025 une réunion du comité de pilotage du projet améliorer les Apprentissages pour l’Autonomisation des Jeunes au Tchad (ALAPAJ) à l’hôtel Novotel La Tchadienne.

L’objectif était de dresser le bilan des réalisations et de définir de nouvelles orientations stratégiques pour l’avenir du projet.

Ce projet vise à doter les jeunes générations, et particulièrement les filles, des moyens nécessaires pour construire leur avenir en fonction de leurs capacités et aspirations.

Il contribue également à l’acquisition de compétences de base et à l’amélioration des apprentissages des jeunes vulnérables, notamment des filles et adolescentes en milieu semi-rural.

Financé à hauteur de 25 milliards de FCFA, l’ALAPAJ s’étend sur 4 ans et couvre 4 provinces (le Wadi-Fira, l’Ouaddaï, le Logone Oriental et le Mandoul).

Selon le directeur de l’Agence Française de Développement (AFD), M. Philippe Chedanne, ce comité de pilotage permet d’identifier les actions prioritaires et de définir, sur une base consensuelle, les mesures nécessaires pour renforcer les capacités de mise en œuvre.

Le représentant de l’ambassadeur de France au Tchad, M. Benjamin Weisz, a souligné que ce projet s’inscrit dans une vision plus large, visant à favoriser l’accès à des alternatives éducatives de qualité, en lien avec l’insertion socio-économique et l’éducation formelle inclusive.

Dans ce cadre, 24 collèges et 72 écoles primaires seront construits ou rénovés dans les quatre régions concernées.

Le ministre de l’Éducation, docteur Aboubakar Assidick Choroma a invité tous les acteurs du projet à s’impliquer pleinement pour atteindre ses objectifs, notamment l’amélioration de l’éducation des filles en milieu semi-rural.

Médias: FM Mandela reprend ses activités après 8 mois d’interruption

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La Radio FM Mandela a repris ses émissions, après 8 mois d’interruption due à un problème technique.

Cette relance s’inscrit dans le cadre de la revitalisation de la communication locale et vise à offrir un service radiophonique de qualité à la population. Elle a été rendue possible grâce à la nouvelle équipe municipale dirigée par le maire Djamal Yaya Moussa, en présence des autorités communales ainsi que plusieurs invités.

Le Roi Mohammed VI reçoit les ministres des Affaires étrangères de l’Alliance des États du Sahel

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Le Roi Mohammed VI, a reçu en audience, lundi au Palais Royal de Rabat, les ministres des Affaires étrangères des trois pays de l’Alliance des États du Sahel, M. Karamoko Jean Marie Traore, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur du Burkina Faso, M. Abdoulaye Diop, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République du Mali, et M. Bakary Yaou Sangare, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens à l’Extérieur du Gouvernement de Transition de la République du Niger.

Cette Audience s’inscrit dans le cadre des relations fortes et anciennes du Royaume avec les trois pays frères de l’Alliance des États du Sahel, qui ont toujours été frappées du sceau de l’amitié sincère, du respect mutuel, de la solidarité agissante et de la coopération fructueuse.

Au cours de cette Audience Royale, les ministres des Affaires étrangères de l’Alliance ont transmis à Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, la gratitude de leurs Chefs d’Etat pour l’intérêt constant accordé à la région du Sahel, ainsi que pour les actions et initiatives Royales en faveur du développement économique et social des pays de la région et de leurs populations.

Les ministres ont tout particulièrement salué l’Initiative de Sa Majesté le Roi, pour favoriser l’accès des pays du Sahel à l’Atlantique, en réaffirmant leur adhésion totale et leur engagement pour accélérer sa mise en œuvre.

Par ailleurs, les ministres ont présenté au Souverain l’état d’avancement institutionnel et opérationnel de l’Alliance des États du Sahel, créée comme cadre d’intégration et de coordination entre ses trois pays membres.

Éducation : Les épreuves écrites du baccalauréat se dérouleront du 2 au 8 juin 2025

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Le directeur des examens et concours de l’ONECS docteur Abakar Mahamat Hassaballah a dressé ce lundi, 28 avril 2025, par un point de presse, le bilan de l’enrôlement biométrique des candidats et publié le calendrier du déroulement du baccalauréat session 2025.

Cette année, il y a eu un nouvel ajustement dans le calendrier du déroulement des épreuves du baccalauréat session 2025. D’après le calendrier, la composition des épreuves commencera du 5 au 10 mai 2025, avec les épreuves d’éducation physique et sportives et du 15 au 18 mai 2025, les épreuves pratiques pour les séries techniques. Tandis que, les épreuves écrites seront déroulées du 2 au 8 juin 2025 et les corrections des copies du 9 au 14 juin 2025.

Commencé le 13 février et clôturé dans des conditions optimales le 16 avril dernier, docteur Abakar Mahamat Hassaballah a déclaré que l’enrôlement biométrique est une étape cruciale franchie marque un tournant important non seulement dans la démarche d’amélioration continue de l’intégrité et à la transparence du baccalauréat, mais également son organisation.

« Je tiens à préciser que l’enrôlement biométrique constitue une étape majeure dans l’organisation du baccalauréat. Ainsi, grâce à une innovation technologique et une mobilisation exceptionnelle des équipes, nous avons atteint les objectifs fixés cette année. Les candidats ont été enrôlés dans un temps record. Une première dans ce processus », a expliqué docteur Abakar Mahamat Hassaballah.

Cependant, docteur Abakar Mahamat Hassaballah a relevé que malgré ces efforts, des défis majeurs persistent, notamment la sous-traitance des dossiers des candidats. Selon lui, l’équipe a eu à repérer des établissements d’enseignement du secteur public qui sous-traitent avec les candidats des classes de seconde et première venus des établissements privés. Pour le directeur des examens et concours de l’ONECS, cette pratique n’est pas de nature à favoriser les efforts déployés par l’ONECS dans l’organisation du baccalauréat. « Toutefois, un travail conséquent est en cours pour qu’un bon nombre des candidats non éligibles sont dégagés du fichier. Nous avons constaté qu’un marchandage», a-t-il annoncé.

Le directeur des examens et concours de l’ONECS docteur Abakar Mahamat Hassaballah a relevé que des établissements n’ayant une autorisation de fonctionner ont tenté de sous-traiter les inscriptions des candidats au baccalauréat via des écoles reconnues et ce en fusionnant les listes des candidats. «Grace à nos mécanismes de contrôle renforcés, ces cas ont été identifiés et neutralisés », a-t-il tranché.

Il faut noter que les statistiques provisoires des candidats enrôlés pour le baccalauréat session 2025, se présentent comme suit. Pour un total de 104 440 candidats enrôlés, les séries littéraires représentent un effectif de 70 443 soit 67,45%. Les séries scientifiques, 31 741, soit 30, 39% et enfin, techniques 2 256 soit un 2,16%.

Selon le nombre par sexe, les statistiques montrent qu’un effectif de 60 904 sont de sexe masculin soit 52,32% et 43 536 féminins soit 41,68%.

Education : 104 440 candidats passeront le baccalauréat 2025

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104 440 candidats composent du 2 au 8 juin prochain le baccalauréat session de juin 2025.

A cet effet les séries littéraires représentent un effectif de 70 443 soit un pourcentage de 67,45% et pour ceux des séries scientifiques sont au nombre de 31,741, soit une pourcentage de 30, 39%.

Tandis que 2 256 candidats des séries techniques soit un pourcentage 2,16%.

Les statistiques montrent qu’un effectif de 60 904 candidats sont de sexe masculin soit un pourcentage de 52,32% et 43 536 féminin soit un pourcentage de 41,68%.

Le directeur des examens et concours de l’ONECS docteur Abakar Mahamat Hassaballah a précisé ce lundi, 28 avril 2025, lors d’un point de presse que la composition des épreuves commencera du 5 au 10 mai 2025, avec les épreuves d’éducation physique et sportives.

Il ajoute que du 15 au 18 mai 2025, c’est les épreuves pratiques pour les séries techniques.

Tandis que, les épreuves écrites se dérouleront du 2 au 8 juin 2025 et les corrections des copies du 9 au 14 juin 2025.

Docteur Abakar Mahamat Hassaballah se félicite du bon déroulement de l’opération d’enrôlement biométrique des candidats.

« Grâce à une innovation technologique et une mobilisation exceptionnelle des équipes, nous avons atteints les objectifs fixés cette année. Les candidats ont été enrôlés dans un temps record. Une première dans ce processus », a expliqué docteur Abakar Mahamat Hassaballah.

Son équipe a eu à repérer des établissements d’enseignement du secteur public qui sous-traite avec les candidats des classes de seconde et première venus des établissements privés.

« Toutefois, un travail conséquent est en cours pour qu’un bon nombre des candidats non éligibles sont dégagés du fichier. Nous avons constaté qu’un marchandage», a déploré, le directeur des Examens et Concours de l’ONEC.

Il a relevé que des établissements n’ayant une autorisation de fonctionner ont tenté de sous-traiter les inscriptions des candidats au baccalauréat via des écoles reconnues et ce en fusionnant les listes des candidats. «Grace à nos mécanismes de contrôle renforcés, ces cas ont été identifiés et neutralisés », a-t-il tranché.